Le remboursement des prêts qu’ils ont souscrits il y a déjà six mois de cela commença à peser lourd. Les banques avaient resserré leurs critères, surtout pour les artisans, et celles qui voulaient bien étudier leur cas n’acceptaient pas une négociation sur le délai de remboursement, sauf si le couple consentait à accepter un taux d’intérêt bien plus élevé car, comble de malchance, les taux étaient eux aussi orientés à la hausse.
